vendredi 25 mars 2016

La communication bienveillante


Aujourd’hui, c’est la journée mondiale de la procrastination.
Et  pourtant, contrairement à mes habitudes, je ne vais pas remettre à demain.
Il faut dire que cela fait plus d’une semaine que je tiens à parler de cette expérience.
Donc voilà : la semaine passée, j’ai assisté à une «conférence» organisée par le périsco. de ma fille sur le thème «comment parler aux enfants pour qu’ils écoutent et écouter pour qu’ils vous parlent».
Vaste sujet et le constat a été sans appel.
Malgré l’amour absolue que j’ai pour mon enfant et notre jolie relation, j’ai réalisé que j’avais encore du boulot si je voulais que ma Zezette devienne une adulte épanouie, autonome et responsable.
Je m’étais déjà fait la remarque mais cette conférence m’a conforté dans l’idée 
qu’il fallait que je fasse des efforts pour entendre ma Zoé : souvent, lorsque ma fille me parle, j’ai l’esprit occupé par ailleurs et je ne l’entends pas alors qu’il suffirait simplement de quelques minutes d’active écoute pour ne pas passer à côté de mon enfant.
Je me dois également de ranger mes peurs, mes angoisses et d’entendre ses envies d’autonomie.
Il faut que j’apprenne à rendre plus ludique certaines «corvées » et que je désamorce nos minis «conflits» par le jeu, l’enfant par nature ne pensant qu’au plaisir.
Il faut que je la responsabilise pour qu’elle prenne conscience que toute décision a des conséquences mais que, pour autant, il faut faire des choix pour avancer.
Ma liste ne s’arrête pas là et je crois que cette conférence m’a ouvert sur un mode de communication lacommunication bienveillante qui m’interpelle et que j’ai très envie d’approfondir.
Je crois d’ailleurs que ce type de communication ne devrait pas se limiter à la relation parents – enfants mais s’étendre à toutes relations humaines et ce dans le domaine familial, amoureux, amical, professionnel … On a tous beaucoup à prendre et à apprendre d’une communication bienveillante entre les gens dans notre société.